Des documents classés défense découverts dans l’ancien bureau de Joe Biden

Le président Joe Biden est dans la tourmente en ce début d’année depuis que des documents gouvernementaux ultra secrets ont été retrouvés dans son ancien bureau à Washington.

Suite à ces découvertes, le responsable républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants a demandé aux services de renseignement américain de procéder à une “évaluation des dommages” des documents potentiellement classifiés découverts dans les bureaux du Président.

En réponse, le président Biden a déclaré que ses avocats avaient fait ce qu’ils auraient dû faire en appelant immédiatement les Archives nationales au sujet de leur découverte. Retour sur une histoire Rocambolesque…

Comment la découverte a été faite ?

Les documents ont été découverts par les avocats de M. Biden lors du déménagement de son bureau.

Ces derniers ont immédiatement prévenu les Archives nationales, qui sont chargées de conserver les dossiers et les objets du président.

Elles sont en train d’évaluer la quantité de documents trouvés et de déterminer s’ils contiennent des informations classifiées ou d’autres documents sensibles.

Qu’est-ce que cela pourrait signifier ?

La découverte de ces documents classés défense est particulièrement inquiétante pour les Etats-Unis car cela pourrait potentiellement causer une atteinte à la sécurité nationale.

En effet, de tels documents contiennent généralement des informations sensibles qui pourraient être utilisées par des acteurs étrangers pour faire pression sur les États-Unis.

Réponse du président Biden et d’autres responsables

Le président Biden s’est dit surpris de la découverte de documents dans son ancien bureau, mais lui et son équipe ont également pris des mesures pour régler le problème.

Les avocats de Biden ont immédiatement appelé les Archives nationales au sujet de leurs découvertes et le président lui-même a déclaré qu’aucun des documents découverts ne contenait d’informations classifiées.

Il a ajouté qu’il s’agissait principalement d’une collection d’articles de journaux, de photographies et d’autres souvenirs de l’époque où il était vice-président sous la présidence de Barack Obama.

En réponse aux appels des républicains en faveur d’une évaluation des documents par les services de renseignement, le porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, a déclaré aux journalistes que “la Maison-Blanche prend ces demandes au sérieux”, ajoutant qu’il est important de s’assurer qu’aucune information sensible n’a été compromise.

Les documents vont donc être scrupuleusement étudiés. Affaire à suivre…